Bonjour ! Aujourd'hui j’interviewe Corentin Ermenault, grand espoir du cyclisme français, il revient sur son début de saison et rappelle ses objectifs !
Bonjour Corentin, merci d'avoir accepté cet itw pour Le Monde de Verlaine. Pour commencer, c'est votre première saison en continental pro, quel bilan tirez vous de cette première partie de saison justement ?
J'ai repris assez tardivement cette saison (au mois d'avril) car j'ai eu un soucis cet hiver, je n'ai donc pas fait énormément de course cette saison mais pour l'instant, ça se passe plutôt bien, j'ai bien entamé mon début de saison, l'entente est très bonne avec l'équipe, j'apprends le métier on va dire !
Pourquoi avoir choisi de faire confiance à l'équipe Vital Concept pour les 2 années à venir ?
Il y a tout de suite eu une accroche avec le manager général Jérôme Pineau qui m'a appelé assez tôt dans la saison, il m'a directement mis en confiance, j'étais en contact avec lui régulièrement c'est ce qui m'a plu avec son approche des coureurs. Le projet avec Bryan (ndlr : Coquard) et le fait que ce soit une nouvelle équipe m'a bien motivé.
Vos début pro sur route on eu lieu dans l'équipe continentale de Bradley Wiggings, que retenez vous de cet homme assez mystérieux ?
Alors oui, c'est vrai que c'est un homme assez mystérieux, on essaye souvent de savoir qui il est vraiment, mais en réalité c'est un super mec, très attachant, qui prend soin de ses coureurs, on était souvent en contact par mail. J'ai vraiment apprécié la personne, les conseils qu'il peut donner, je garde une très bonne image de Bradley Wiggings.
Benoit Cosnefroy et vous aviez été les seuls français médaillés aux mondiaux de Bergen en 2017, j'imagine que l'entente entre vous doit être très bonne ?
Ouais, c'est sur, j'ai fait chambre avec Benoît en internat pendant 2ans, donc on est très proche,on était déjà amis avant Bergen, et le fait d'avoir été médaillés tout les deux aux mêmes championnats du monde ça nous a encore plus unis. Je m'entend vraiment très bien avec « Beubeu » c'est un des rares amis que j'ai dans le vélo, il est très important pour moi.
En parlant de ces mondiaux, j'imagine aussi que pour vous, sur route, c'est la perf' que vous retenez le plus de votre carrière ?
Je n'y ai pas réfléchi mais c'est vraiment la plus belle perf' de ma carrière qui est assez courte.
En chrono sur route, comme en piste, vous avez affolés tout les compteurs chez les espoir ! La transition est elle difficille à faire entre les deux ? (piste/route)
En soi, oui. Je pense qu’elle est difficile mais moi, j’ai la chance de réussir à bien switcher entre les deux, arriver sur la piste, repartir sur la route ou inversement ; ça ne me pose aucun soucis, j’ai ce don assez utile.
Quel est votre meilleur souvenir sur la piste ?
Mon meilleur souvenir -qui est d’ailleurs le meilleur route et piste confondu- c’est le championnat d’Europe sur piste à St. Quentin en Yvelines où je gagne la poursuite individuelle. J’avais jamais vu ça, une telle ampleur, un vélodrome plein à craquer et tout une nation derrière moi ; le public je l’entendais, j’avais des frissons même pendant la course. Tour après tour, tout le public était avec moi et ça m’a énormément touché, je ne l’oublierais jamais, c’était fou.
Votre père a un sacré palmarès également ! Ça vous aide ou ça vous met la pression ?
Ni l'un ni l'autre. Je pense que dans le sens logique ça devrait me mettre la pression, mais moi je qui pas du tout quelqu'un qui ressent la pression et ça ne m'apporte pas d'aide particulière.
Merci d'avoir accepté cet ITW, pour finir, que peut on vous souhaiter pour la fin de saison ?
Pour la fin de saison ? J'aimerais remporter une ou deux courses et faire un très bon championnat de France élite du chrono !
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J'ai repris assez tardivement cette saison (au mois d'avril) car j'ai eu un soucis cet hiver, je n'ai donc pas fait énormément de course cette saison mais pour l'instant, ça se passe plutôt bien, j'ai bien entamé mon début de saison, l'entente est très bonne avec l'équipe, j'apprends le métier on va dire !
Pourquoi avoir choisi de faire confiance à l'équipe Vital Concept pour les 2 années à venir ?
Il y a tout de suite eu une accroche avec le manager général Jérôme Pineau qui m'a appelé assez tôt dans la saison, il m'a directement mis en confiance, j'étais en contact avec lui régulièrement c'est ce qui m'a plu avec son approche des coureurs. Le projet avec Bryan (ndlr : Coquard) et le fait que ce soit une nouvelle équipe m'a bien motivé.
Vos début pro sur route on eu lieu dans l'équipe continentale de Bradley Wiggings, que retenez vous de cet homme assez mystérieux ?
Alors oui, c'est vrai que c'est un homme assez mystérieux, on essaye souvent de savoir qui il est vraiment, mais en réalité c'est un super mec, très attachant, qui prend soin de ses coureurs, on était souvent en contact par mail. J'ai vraiment apprécié la personne, les conseils qu'il peut donner, je garde une très bonne image de Bradley Wiggings.
Benoit Cosnefroy et vous aviez été les seuls français médaillés aux mondiaux de Bergen en 2017, j'imagine que l'entente entre vous doit être très bonne ?
Ouais, c'est sur, j'ai fait chambre avec Benoît en internat pendant 2ans, donc on est très proche,on était déjà amis avant Bergen, et le fait d'avoir été médaillés tout les deux aux mêmes championnats du monde ça nous a encore plus unis. Je m'entend vraiment très bien avec « Beubeu » c'est un des rares amis que j'ai dans le vélo, il est très important pour moi.
En parlant de ces mondiaux, j'imagine aussi que pour vous, sur route, c'est la perf' que vous retenez le plus de votre carrière ?
Je n'y ai pas réfléchi mais c'est vraiment la plus belle perf' de ma carrière qui est assez courte.
En chrono sur route, comme en piste, vous avez affolés tout les compteurs chez les espoir ! La transition est elle difficille à faire entre les deux ? (piste/route)
En soi, oui. Je pense qu’elle est difficile mais moi, j’ai la chance de réussir à bien switcher entre les deux, arriver sur la piste, repartir sur la route ou inversement ; ça ne me pose aucun soucis, j’ai ce don assez utile.
Quel est votre meilleur souvenir sur la piste ?
Mon meilleur souvenir -qui est d’ailleurs le meilleur route et piste confondu- c’est le championnat d’Europe sur piste à St. Quentin en Yvelines où je gagne la poursuite individuelle. J’avais jamais vu ça, une telle ampleur, un vélodrome plein à craquer et tout une nation derrière moi ; le public je l’entendais, j’avais des frissons même pendant la course. Tour après tour, tout le public était avec moi et ça m’a énormément touché, je ne l’oublierais jamais, c’était fou.
Votre père a un sacré palmarès également ! Ça vous aide ou ça vous met la pression ?
Ni l'un ni l'autre. Je pense que dans le sens logique ça devrait me mettre la pression, mais moi je qui pas du tout quelqu'un qui ressent la pression et ça ne m'apporte pas d'aide particulière.
Merci d'avoir accepté cet ITW, pour finir, que peut on vous souhaiter pour la fin de saison ?
Pour la fin de saison ? J'aimerais remporter une ou deux courses et faire un très bon championnat de France élite du chrono !
Lucas Métairie, 3e5
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